Le Dauphiné Libéré - 03/03/09
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COURSE DU SUZON - Aux Côtes-d'Arey |
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Mercier plus fort |
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Samedi après-midi, quelque 250 coureurs se sont régalés sur les circuits de la course du Suzon. Changer les parcours d'une épreuve pédestre est toujours un grand saut dans l'inconnu. C'est donc avec un brin d'appréhension que les organisateurs de la course du Suzon aux Côtes d'Arey abordaient le cru 2009 samedi après-midi. Ils avaient en effet décidé de bousculer les habitudes et d'offrir des parcours inédits se rapprochant du trail avec une grande majorité de sentiers. Au final, le pari est largement gagné. Le soleil qui inondait la vallée du Rhône a forcément poussé les amateurs de courses à pied à chausser leurs baskets. C'est donc pas moins de 250 coureurs qui se sont massés derrière la ligne de départ du 8km et du 16 km. Un nouveau record pour l'épreuve. Des chronos de qualité Du côté sportif, si les absences de Jérôme Michallon et Mohammed Lantri blessés rendaient à première vue, le plateau un peu moins prestigieux, la course a tout de même était belle et a accouché de beaux vainqueurs. |
Mercier s'est facilement imposé sur le circuit du 16 km. Un nouveau succès pour celui qui est un habitué du posium c^tarin. Alexandre Majewsky (*) et Cédric Veyet complètenet le podium.. Sur le 8 km, Christian Cazorla (Spode), parti comme d'habitude sur un
train d'enfer, a rapidement lâché tout le monde pour venir
franchir victorieusement la ligne en seulement 28' 03. |
Du côté des femmes, pas de suspense non plus. Comme souvent
en pays viennois, la victoire est revenue à MarieChristine Cret-Martinez
de Mach 3. Nathalie Henquinet termine 2e devant Marie-Annick
Chesneau ILS ONT DIT |
Le Dauphiné Libéré - 19/02/09
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Jeudi l'histoire : le 19 février 1899 |
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II y a, jour pour jour, exac-tement
110 ans qu'a eu lieu à Vienne, dans la vallée de Leveau, la
première partie de rugby, prélude de à ce qui allait
devenir le club sportif de Vienne. L'ancêtre de ce sport remonte à l'Antiquité. Les Grecs jouaient à la "phaininda", le Romains connaissaient le jeu du "harpestum" et nos ancêtres du Moyen Âge se distrayaient en pratiquant la 'soule", jeu très viril qui émigra par la suite en Angleterre... Mais il fallut attendre 1823 pour que ce sport reçoive son nom. L'anecdote est bien connue : en novembre de cette année -là, des étudiants du collège de Rugby (dans le Warwickshire) disputaient une partie de football quand 1'un des joueurs, nommé William Webb Ellis, commit une infraction en s'emparant du ballon à la main.Plutôt que de reconnaître cette erreur, les étudiants édictèrent de nouvelles règles pour ce jeu auquel on donna tout naturellement le nom de rugby |
Il fallut attendre une vingtaine d'années pour que le premier
club fût officiellement créé (le Guy's Hospital) puis
pour que les premières règles écrites apparussent.Bien
des années plus tard, le nouveau sport franchit le Channel et fut
introduit en France sous le nom de "combinaison" ou "football
rugby" (à ne pas confondre avec le "football association",l'ancêtre
du foot). Collégiens de Ponsard |
Dimanche 19 février 1899, les deux équipes se retrouvèrent donc sur un terrain de fortune, c'est-à-dire dans une prairie de la vallée de Leveau, non loin de l'auberge de la Vallée. Le public, composé de parents et d'amis, était nombreux. Les Viennois perdirent 65 à 0. Peu importe, ce jour-là le club sportif de Vienne était né!
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A SAVOIR Très rapidement, les rencontres de rugby eurent lieu au champ de manoeuvres de l'lsle, dont il fallait parfois déloger une bergère y faisant paître ses chèvres. Pierre Domeyne retrace cette époque dans "Cent ans de rugby à Vienne" paru aux Éditions Armine-Édiculture en 1999. |
La Tribune de Vienne N° 2512 (22 au 28/10/09
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Un professeur d'EPS du collège viennois parmi les meilleurs triathlètes français. |
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Alexandre Majewski, de Ponsard aux Templiers |
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Professeur d'Éducation physique et sportive au Collège
Ponsard depuis six ans, issu d'une famille de montagnards et de rugbymen
du côté de La Mûre, Alexandre ne se doutait pas qu'un
jour il évoluerait au plus haut niveau français du triathlon
(et le meilleur est sans doute à venir...) au sein de l'écurie
viennoise Mach 3. Pourtant, il connaissait déjà Vienne en
tant que rugbyman : "j'ai joué en Fédérale 2
à Pont-de-Claix, je me rappelle avoir marqué un essai à
Vienne, on avait même failli gagner ! " Puis un drame personnel
lui a donné l'envie de passer à autre chose: |
C'est sûr que ça change entre le rugby de Fédérale, ses deux entraînements par semaine, et le triathlon où j'enchaîne des semaines entre dix et quatorze entraînements hebdoma-daires dans trois sports différents." Un corps sain dans un esprit sain, une maturité exceptionnelle, un esprit collectif qui s'exprime dans l'un des sports les plus individuels qui soit. Le professeur d'EPS du collège Ponsard insiste d'ailleurs pour remercier les Cycles Blain et Intersport à Vienne qui l'aident beaucoup. Sans la fantastique camaraderie qui existe au sein de Mach 3, ce serait plus difficile aussi", confie-t-il. C'est sûr qu'il a intérêt à se sentir bien quand on sait qu'il aligne 15 000 km à vélo par an, 3000 de course à pieds et environ 150 de natation son point faible... "J'aimerais bien avoir un entraîneur qui me suive régulièrement pour travailler la technique de nage" dit-il. Le message est passé, mais pour l'instant, cela ne l'empêche pas de briller dans d'autres épreuves, telles que la course à pieds longue distance, les trails. Dernier objectif de la saison: le Trail des Templiers dans l'Aveyron, fin octobre, avec 72 km à pieds pour 3 200 m de dénivelé. Les spécialistes apprécieront...
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